Comme je vous l'ai dit, monsieur peut être puni discrètement même s’il y a du monde à la maison. Je vais prendre un exemple assez fréquent, le grand défaut de Gérard que je ne supporte pas c'est de couper la parole aux gens et d'essayer de monopoliser la parole, ça arrive souvent au cours d'un repas.

Quand il commence à monter le ton je le regarde fixement et je tapote le dos de ma main avec mes doigts, il sait que ça veut dire une fessée t'attends mon petit ami. En général il s'arrête immédiatement et il rougit, j'en profite pour lui dire, "ça ne va pas mon chéri, c'est ta migraine qui revient", et j'enchaîne en direction de nos invités, je leur explique que Gérard est sujet à des crises de migraine soudaines et que le seul traitement c'est le repos au calme et dans le noir. Nos amis compatissent et j'en profite pour inciter mon mari à aller se reposer dans la chambre.

Nous avons une très grande maison et la chambre est à l'étage tout à l'opposé du salon et séparée par deux portes. Je continue à parler de la migraine pendant quelques temps, puis je m'excuse auprès d'eux leurs disant que je vais m'occuper de Gérard qu'ils continuent à discuter, ce ne sera pas long.

Effectivement, je vais m'occuper de mon mari ou plutôt d'une partie précise de l'anatomie de celui-ci à savoir ses fesses. Je le rejoins dans notre chambre en fermant bien les portes, quand j'entre dans la pièce, il est dans la position préconisée, le pantalon est plié sur le lit, il est au coin mains sur la tête, la culotte descendue sous les fesses. Je m'assieds sur le bout du lit, "Tu remontes ta culotte et tu viens me voir ! Je te promets que je vais te faire passer cette mauvaise habitude ! Je déteste que tu coupes la parole aux gens, tu le sais et bien si c'est des fessées qu'il te faut, tu vas en avoir !"

Tout en disant ces mots, je le couche en travers de mes genoux et je le déculotte, je ne m'attarde pas en commentaire superflu, il a droit à une retentissante correction qui ne s'arrête que quand son postérieur est écarlate et qu'il commence à pleurnicher.

La suite est classique, tenu par l'oreille, il regagne le coin, "mains sur la tête, comme un sale gamin, privé de dessert" je rajoute ça en souriant pour parfaire son humiliation d'avoir été fessé cul nu à quelques mètres de nos invités. Même s’ils ne se doutent de rien c'est assez angoissant pour lui. Je le laisse là et je regagne la salle, je rassure nos invités, il va mieux, mais il s'excuse, il ne pourra pas revenir. Nos amis le plaignent, sans savoir que ce n'est pas sa tête qui le fait souffrir mais son derrière qui le cuit énormément et qu'il a interdiction de frotter. Si la punition a eu lieu en fin de repas, Gérard n'a droit qu'à une seule fessée mais si c'est au milieu, je m'absente une fois sous prétexte de prendre de ses nouvelles et il a droit à une nouvelle fessée déculottée.

Ce traitement a du bon car les crises de migraine fessière de mon mari s'espacent depuis quelques temps, il faut dire que passer la soirée au coin fesses écarlates au lieu de profiter d'un bon repas a de quoi faire réfléchir.

Bien sûr une fois les invités partis, il doit venir m'aider à ranger la salle, je lui remonte la culotte juste sous les fesses pour qu'il puisse se déplacer mais de manière à ce que je puisse contempler sa croupe écarlate. Quand c'est fini, il a droit à une dernière fessée, allongé sur mes genoux dans le salon, puis comme pour la journée fesses rouges, il finit la soirée couché sur le lit avec un oreiller pour bien relever son fessier et le thermomètre profondément enfoncé dépassant à peine de la raie fessière. Il le garde tout le temps nécessaire à ma toilette du soir.

Comme vous pouvez le constater, cette discipline domestique est restée tout à fait discrète mais cependant d'une efficacité remarquable. Une petite précision pour finir, vous pouvez vous demander pourquoi je fais reculotter monsieur avant de le fesser ?

Deux raisons à cela, je pense qu'obliger le puni à se déculotter afin de présenter ses fesses pour attendre sa punition me paraît une bonne humiliation, mais ensuite pour ce qui est de la fessée proprement dite, il est fondamental pour moi que la fesseuse procède elle-même au déculottage et contrairement à ce que je lis ici et là, se faire baisser la culotte quand on est déjà allongé sur les genoux de sa maîtresse c'est certainement la partie la plus humiliante de la fessée. Je baisse d'abord la culotte juste sous les fesses pour mettre à nu la surface à corriger puis quand la punition commence à faire son effet c'est à dire que les jambes battent l'air et que les fesses se serrent et se desserrent au rythme de la correction, je descends la culotte à mi-cuisse et je termine la fessée, elle ne s'arrête qu'après obtention d'une paire de fesses bien rouges et des pleurs et supplications de mon chéri.

Voilà pour la fessée discrète !

Sylvie

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